19th October 2012 Paris, France
Nos activités de diplomatie commerciale en France
Je voulais vous parler cette semaine de la diplomatie commerciale. C’est une priorité pour nous, notre Premier ministre et notre ministre des Affaires étrangères : la diplomatie britannique, toutes les ambassades doivent être totalement impliquées dans la recherche de la croissance et de l’activité économique.
Transcription (suite)
J’ai eu la chance de visiter pour la première fois les usines de ligne d’assemblage d’Airbus à Toulouse. C’est une industrie fantastique, une réussite remarquable pour l’Europe, y compris pour les entreprises britanniques comme Rolls Royce, qui fournissent davantage de moteurs de grande envergure pour la nouvelle génération d’avions. J’ai eu la grande chance de pouvoir observer le premier Airbus A380 pour British Airways : il y a une image sur notre site Flickr de cet énorme avion que je saluais à Toulouse.
Nous avons eu à Paris la semaine dernière notre ministre pour la recherche et l’innovation, David Willetts (voir la vidéo sur notre site). Il était ici pour rencontrer les grands investisseurs, les grandes entreprises de recherche et de technologie en France pour discuter des conditions d’investissement au Royaume-Uni et des échanges entre nos universités et nos entreprises dans le domaine de l’innovation et de la recherche. C’est un atout pour nos deux pays et l’on veut continuer à augmenter les échanges scientifiques et technologiques entre nos deux pays.
Cette semaine, c’est aussi la semaine du marché unique, pour célébrer 20 ans depuis la grande décision de lancer ce chantier dans l’Union européenne. Cela a été gagnant-gagnant pour tous les pays de l’Union européenne. Par exemple, le commerce entre la France et la Grande-Bretagne a augmenté de plus de 125% pendant cette période. Il y a toujours davantage à faire pour libérer les marchés de service, pour étendre cela au marché numérique où il y a énormément de possibilités pour l’avenir, mais l’idée est que les échanges commerciaux doivent être totalement libres et que les barrières doivent être levées partout en Europe. Le Royaume-Uni reste entièrement positif à l’extension du marché unique européen.